3. Roger Federer

En effet, c'est un joueur étonnant, ce Roger ! Le monde du tennis - enfin, le monde sportif entier - va parler de lui pour des années. Et qu'il reste charmant, humble, naturel, tout en battant record après record... c'est vraiment quelque chose d'exceptionel.

Quelle élégance

Victoire difficile au 1er tour des JO

Merci pour ces belles photos !

Federer présent à Rio 2016 ?

Roger Federer, finaliste malheureux du tournoi olympique de tennis, dimanche à Wimbledon, n'exclut pas de participer aux prochains Jeux Olympiques, à Rio de Janeiro en 2016.

"Je l'avais déjà dit avant le tournoi, ce n'est pas impossible que je sois présent à Rio", a expliqué le Suisse, numéro un mondial du tennis. "Je meurs d'envie de remporter une médaille d'or", a déclaré Federer. "Mais c'est encore long, et entre-temps je peux encore arrêter et faire un retour à la compétition."

À Londres, Federer participait aux Jeux pour la quatrième fois. "Je ne suis pas encore allé à Rio, mais le Brésil est un pays superbe. Je m'y rendrais volontiers."

Federer a perdu dimanche en finale du simple des Jeux face au Britannique Andy Murray en trois sets: 6-2, 6-1 et 6-4.

Sport.be

Défaite assez sévère en finale des JO...

Merci, Tennisboy ! Roger ne semblait pas être dans son assiette aujourd' hui - c'était pas le même Roger qui a gagné le tournoi GC à Wimbledon il y a 3 semaines...

Contente pour Andy, faut l'admettre, mais aussi triste pour Roger qui n'aura pas la médaille qu'il a voulue depuis 5 ans... Mais enfin, quelle tournoi - il n'a rien à se reprocher, bien sûr ! Sauf que Roger ne se contente pas de l'à-peu-près, donc il doit être bien déçu, et pour ça je suis triste...

"Je vis un été magique"

Net vainqueur du Master 1000 de Cincinnati, Roger Federer a envoyé un signal fort à ses rivaux. A 31 ans, une sixième victoire à l'US Open est plus que jamais d'actualité pour le trentenaire le plus fringant vu sur un court depuis Andre Agassi.

L’âge semble ne pas avoir prise sur lui. Roger Federer vient de fêter ses 31 ans mais, à Cincinnati, il a réalisé un tournoi digne des plus grandes heures de sa domination sur le circuit ATP. "C’était pourtant mon tournoi de reprise, s’en étonnait lui-même le Suisse au moment de soulever son cinquième trophée dans l’épreuve – un record – et ça n’est jamais évident de passer d’une surface à une autre." Sur dur, la surface la plus homogène du circuit, sur laquelle il n’avait plus battu Novak Djokovic depuis bientôt deux ans, Federer a fait preuve d’une marge que même son récent Wimbledon victorieux ne laissait pas forcément présager. En cinq matchs à Cincinnati, il n’a pas abandonné le moindre set, pas perdu une seule fois son service, et même seulement concédé trois balles de break dans toute sa semaine !

La finale, face à son dauphin au classement mondial Novak Djokovic, fut sans doute la pièce maîtresse de son œuvre dans l’Ohio : "Numéro 1 contre numéro 2, vous ne vous attendez jamais à gagner aussi nettement", commentait à chaud le Suisse, tout sourire. Car le résultat du travail fourni avec Paul Annacone, ancien entraîneur de Pete Sampras engagé pour négocier un important virage dans sa carrière, a sauté aux yeux dans toute son excellence : toujours aussi efficace au service, planté sur sa ligne pour dicter le jeu et capable de trouver une longueur de balle remarquable, Federer n’a jamais laissé respirer son cadet de six ans.

" Je me sens bien pour l'US Open "

Particulièrement affûté, vif sur les jambes au point de se décaler en coup droit aussi aisément qu’il y a une demi-douzaine d’années, Federer a littéralement pris de vitesse le vainqueur de l’Open d’Australie avec un jeu particulièrement efficace (28 points gagnants contre 12, 8 aces contre 2). Et quand l’échange en cadence s’est malgré tout installé, le Bâlois a su brouiller le jeu grâce à d’habiles montées au filet, conclues la plupart du temps par des volées amorties côté revers. Onze points gagnés au filet sur quatorze tentatives, le chiffre est significatif face à un maître es passing tel que Djokovic.

Au final, fort de son tout premier 6-0 passé à Djokovic en 28 affrontements et de son sixième titre remporté cette année – il n’en avait plus gagné autant dans une saison depuis 2007 – Roger Federer arrive lancé à New York, pour le dernier Grand Chelem de l’année. Et lui qui n’a plus gagné l’US Open depuis 2008 en a bien conscience. "Je vis un été magique, avoue-t-il. Je me sens bien dans la perspective de New York (et l'US Open), mais je vais tout d'abord savourer un petit peu ce titre". Devant le défi représenté par un Super Saturday toujours éprouvant, c’est en privilégiant les filières courtes que le trentenaire helvète trouvera son salut face à ses cadets… Novak Djokovic en tête. La lutte entre ces deux-là est loin d’être finie. Et la première place mondiale de fin d’année pourrait bien être la récompense ultime du vainqueur.

Eurosport

Super ! Merci beaucoup, Tennisboy !



Ça promet bien pour l'US Open...

Il a bien rebondi après les JO, c'est encourageant pour l'US Open

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Trop comique, merci !

Héhé

Federer tombe du quart

Pour la première fois depuis 2003, Roger Federer ne sera pas dans le dernier carré de l'US Open. Il a été sorti en quatre sets (7-6, 6-4, 3-6, 6-3) par Tomas Berdych cette nuit en quarts de finale.

L'US Open a vécu un véritable coup de tonnerre cette nuit. Un orage nommé Tomas Berdych. Le Tchèque a signé un exploit majuscule en sortant Roger Federer en quatre manches sur le court Arthur-Ashe. Il y a deux ans, il avait déjà mis fin à une époque en battant le Suisse à Wimbledon. En quarts de finale déjà. En quatre sets déjà, aussi. Federer restait alors sur sept finales de suite. En faisant à nouveau chuter le numéro un mondial mercredi soir à Flushing Meadows, Berdych a réussi un exploit comparable, marquant à nouveau la fin d'une incroyable série, puisque Federer n'avait plus été absent du dernier carré à New York depuis 2003. Plus extraordinaire peut-être encore, il n'avait encore jamais été battu en session de nuit ici.

Tomas Berdych est donc un dangereux récidiviste. Sa victoire, amplement méritée, lui permet d'accéder aux demi-finales pour la toute première fois de sa carrière à l'US Open. Même si Federer a possédé un break d'avance dans la première manche, il a globalement été dominé par le Tchèque au cours des deux premiers sets. Berdych y a même été phénoménal, ne commettant que 11 fautes directes en 23 jeux. A l'inverse, Federer manquait de précision et de constance à l'échange. Une fois mené deux manches à rien (7-6, 6-4), son cas n'était pas encore désespéré. Mais Berdych semblait si solide dans tous les domaines, y compris au service, qu'on voyait mal comment le Suisse allait pouvoir se tirer d'affaire, d'autant qu'il se faisait breaker à nouveau en début de troisième set.

Trajectoires opposées

Federer a alors nettement haussé le ton, en profitant aussi d'un mauvais jeu de service adverse à 3-2 au troisième set. Plus efficace en première balle et surtout nettement plus régulier dans ses frappes, il n'a commis que six fautes directes au cours de ce troisième acte, contre 27 sur l'ensemble des deux premières manches. La quatrième a été un étalage de très grand tennis mais Federer a commis un faux pas rédhibitoire dans le huitième jeu et Berdych a sauté sur l'occasion pour faire le break d'un coup droit gagnant et a pu servir pour le match. A l'heure de conclure, il n'a pas tremblé une seule seconde, remportant son service blanc. Immense exploit pour le Tchèque, qui restait sur une élimination au premier tour à Wimbledon comme aux Jeux Olympiques. Il a su tourner le dos à ce début d'été catastrophique pour revenir en pleine lumière à New York.

En somme, la trajectoire exactement inverse de celle de Roger Federer. Le Bâlois avait reconquis la première place mondiale et son premier titre du Grand Chelem depuis deux ans et demi en s'imposant sur le gazon londonien. S'il restera quoi qu'il arrive au sommet de la hiérarchie à l'issue de cet US Open, sa déception n'en reste pas moins immense. Mais il a été battu par plus fort que lui mercredi. Avec quasiment deux fois plus de fautes que son adversaire (40 contre 21), il ne pouvait s'en sortir. D'autant que son service a manqué lui aussi d'efficacité et de régularité. Sa première, notamment, n'a pas fait assez mal (71% de points gagnés, 80% pour Berdych). Il n'avait pourtant pas perdu un seul set depuis le début du tournoi. Mais Berdych, libéré de ses démons, l'a cueilli à froid.

Eurosport

Federer : "J'ai besoin de vacances"

Epuisé, le numéro un mondial voudrait faire une pause après dix mois à plein régime. Tenant du titre à Paris-Bercy, Federer, qui souhaite aborder la finale du Masters dans les meilleures dispositions, pourrait briller par son absence dans la capitale française dans un mois.

Roger Federer a beau être redevenu numéro un mondial après son septième sacre à Wimbledon en juillet, le Suisse en a plein les baskets. Avec 69 matches à son compteur en 2012, le Bâlois n'en peut plus et a confié ses états d'âme en marge du maintien de son pays dans le groupe mondial de la Coupe Davis ce week-end, face aux Pays-Bas.

"Je suis actuellement très fatigué. Je dois me reposer puis réfléchir à la suite de ma saison. Je vais me décider ces prochains jours", a expliqué Federer, en précisant qu'il devait "avant tout penser au long terme, aux prochains six à douze mois". Le Suisse aimerait "évidemment terminer 2012 comme numéro un mondial", même s'il avoue ne pas savoir "si cela sera (sa) grande priorité." A 31 ans, le Suisse ne semble pas disposé à faire tous les sacrifices pour solder l'année une sixième fois au sommet de la hiérarchie de la planète tennis.

Absent à Paris-Bercy ?

L'an dernier, Federer avait opté pour un break de six semaines au sortir de l'US Open. Histoire de recharger les accus avant une longue période de jeu entamée chez lui, à Bâle, fin octobre. Depuis, le Suisse n'a pas eu l'occasion de se poser et n'a quasiment pas quitté les courts depuis onze mois. De quoi sera faite la suite de son exercice 2012 ? Ses participations futures à Bâle (22-28 octobre) et au Masters de Londres (5-12 novembre) semblent entérinées. En revanche, Federer a laissé planer le doute quant à sa présence au Masters 1000 de Shanghai (7-14 octobre) et à celui de Paris-Bercy (29 octobre-4 novembre).

Absent en Chine l'an dernier, le numéro un mondial pourrait tout de même s'y rendre pour récolter quelques points, dans un premier temps, et faire plaisir à l'un de ses sponsors, dans un second. En revanche, Federer ne verrait pas d'un bon oeil la suppression de la semaine de battement entre le Masters parisien, dont il est le tenant du titre, et le rendez-vous des maîtres à Londres.

Eurosport

Roger Federer veut durer face à ses rivaux plus jeunes

Le Suisse Roger Federer, N.2 mondial, a déclaré que la "longévité" était son objectif principal face à ses jeunes rivaux, vendredi à la presse lors d'une escale à Singapour sur la route de Melbourne où il entamera son année 2013 avec l'Open d'Australie.

"Je veux essayer de durer le plus longtemps possible... Je ne veux pas terminer (ma carrière) en queue de poisson", a déclaré le champion aux dix-sept titres en Grands Chelems.

"Je pense que la longévité est ce que je recherche", a souligné l'ancien roi du tennis mondial. "J'espère continuer à jouer pendant plusieurs années, parce que j'aime ça, j'aime la pression que procure le fait de jouer contre une nouvelle génération qui arrive et qui progresse rapidement", a ajouté Federer, qui se voit encore disputer les jeux Olympiques de Rio en 2016, alors qu'il aura 35 ans.

"Je suis tellement heureux d'avoir joué pendant aussi longtemps, mais tout le monde me dit que tout à une fin, mais vous savez, je n'ai pas 89 ans !", s'est-il encore exclamé. "J'ai l'impression d'être encore très jeune, même si je suis conscient du fait que le tennis ne durera pas toute la vie, et je fais mon possible pour tirer le meilleur de ces dernières années".

Afin de préserver sa longévité, Federer envisage de ne disputer que 14 tournois en 2013.

Europsort

Il s'est déjà montré d'une grande longévité - que ça continue !

Merci pour l'article, Tennisboy !

Federer : "Pas de regrets"

Sorti en demi-finale de l'Open d'Australie par Andy Murray, Roger Federer ne trouvait pas d'excuse quant à sa défaite après le match et reste plutôt satisfait de sa quinzaine. "J'espérais faire un peu mieux, mais dans l'ensemble je suis assez satisfait de mon tournoi. J'ai joué un bon tennis, je me déplaçais bien notamment lors de mes deux derniers matches. La rencontre face à Tsonga m'a un peu usé, mais ce n'est pas une excuse pour expliquer ma défaite face à Andy. Je n'ai pas de regrets."

Eurosport

Merci, Tennisboy ! En effet, Roger a pas mal fait ! Arriver en demi-finale d'un GC, c'est déjà beaucoup. On est tellement habitué à voir Roger en finale que sa défaite semble inattendue ; alors cela montre combien on a de grandes espérances pour lui

Federer veut égaler McEnroe

Roger Federer, N.2 mondial, a affirmé mardi qu'il adorerait égaler la marque de John McEnroe de 77 tournois remportés dans une carrière, sachant qu'une seule victoire manque au Suisse pour atteindre ce chiffre.

"J'adorerais égaler McEnroe et ses 77 victoires, c'est évident. Il a été un si grand joueur et apporté tellement à notre sport, comme d'autres grands champions qui ont forgé la légende de notre sport", a expliqué Federer au tournoi de Madrid, où il a vécu mardi une entrée sans difficultés face au Tchèque Radek Stepanek (6-3, 6-3).

"McEnroe a fait tellement de choses pour notre sport et il a su continuer à le rendre attrayant même après sa retraite, en commentant des matches, en poursuivant une carrière en seniors, en participant à des opérations de promotion du tennis", a poursuivi Federer.

Crédité de 76 victoires, le Bâlois n'a besoin que d'un seul succès pour égaler McEnroe, lui-même 3e au bilan des victoires derrière l'Américain Jimmy Connors (109) et le Tchèque Ivan Lendl (94).

Roger Federer détient déjà le record de titres en Grand Chelem, 17, soit 3 de plus que l'Américain Pete Sampras.

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